Le coaching a-t-il besoin de la philosophie ? La philosophie peut-elle compléter la pratique du coaching ? Découvrons un peu plus sur ces deux sujets spécifiques mais si complémentaires. Le site web professionnel en coaching
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La philosophie
La philosophie désigne une activité et une discipline. Elle se présente comme un questionnement, une interprétation et réflexion sur le monde et l'existence humaine. Cette pratique philosophique accompagne les particuliers et les organisations et les aide à mobiliser leurs capacités et compétences afin de favoriser le développement d'une pensée libre et mobile. De plus, cela les aide à prendre la hauteur nécessaire à l'évaluation des problématiques les plus complexes. En outre, cette pratique leur procure des instruments essentiels pour dépasser les préjugés, pour se remettre en question, pour ouvrir de nouveaux horizons, pour gagner en assertivité et pour produire les conditions propices aux échanges les plus fructueux.
Le coaching
Le coaching, quant à lui, est un accompagnement professionnel personnalisé aidant les coachés à obtenir des résultats concrets et mesurables dans leur vie professionnelle et/ou personnelle. Le coach doit alors être en mesure d’aider son client à approfondir ses connaissances et à améliorer ses performances. Le coaching est utilisé pour accompagner les individus et les groupes vers la définition de leurs objectifs et le développement de leurs ressources propres pour les atteindre. Le processus de coaching vise alors à changer le regard du client sur lui-même, à prendre du recul sur son propre fonctionnement afin de projeter le futur et atteindre ses objectifs.
La philosophie introduite dans le coaching
Il est utile de savoir que la philosophie est l'une des racines du coaching. En philosophie, il s‘agit d’effectuer un exercice autonome de la raison, même lorsque celle‐ci est guidée par le dialogue ou par la maïeutique socratique. Il faut alors savoir poser les problèmes, trouver par soi‐même des solutions variées, faire progresser une façon de voir les choses et la vie. En somme, c’est le même mode d’emploi qu’en coaching. Dans cette optique, le philosophe, qui joue le rôle de conseiller théorique, moral ou politique, est avant tout un passeur, qui viserait en réalité un but semblable à celui du coaching à savoir permettre à son interlocuteur de devenir conscient de lui‐même et de son rapport avec le monde. La dimension philosophique introduite dans la pratique du coaching peut donc être transformée en une éthique qui serait adaptée aux individus et aux groupes pour les aider dans leur perfectionnement et leur épanouissement.